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Les oiseaux du monde à travers la musique classique
"Oiseau divin, oiseau messager, oiseau symbole… Toute l'histoire de la musique classique occidentale est peuplée de chants d'oiseaux, de pépiements, d'onomatopées qui sont autant de tentatives plus ou moins heureuses d'imiter le langage vif et coloré de la gent ailée.
Curieusement, alors que les oiseaux sont innombrables dans leur variétés, les musiciens classiques – et les poètes qui sont leur source d'inspiration – n'en retiendront que quelques uns, leur conférant une symbolique assez simple et compréhensible par un public sensible aux conventions. Les spécimens ainsi retenus le seront en raison de l'heure et de la saison où leurs chants se font entendre ainsi qu'en raison de leurs agissements particuliers.
Ainsi le coucou occupe-t- il dès le Moyen-Âge une place particulière dans le bestiaire ailé. Il est évoqué au 13 ème siècle dans un rondeau anglais « Summer is icumen in » et se glisse ironiquement dans un lied d'Oswald von Wolkenstein à l'aube du XVème siècle. On le retrouve dans les chansons mais aussi dans la musique instrumentale où son cri narquois peut, comme dans les œuvres pour clavier de Pasquini ou Kerll, servir de base à de grandes pièces virtuoses. ...."
la suite de cet article :
http://www.lamediatheque.be/dec/oiseaux/musique_classique...
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Gentille alouette
Alouette, gentille alouette,
Alouette, je te plumerai.
Je te plumerai la tête,
Je te plumerai la tête,
Et la tête, et la tête.
Alouette, gentille alouette,
Alouette, je te plumerai.
Je te plumerai le bec,
Je te plumerai le bec,
Et le bec, et la tête.
Alouette, gentille alouette,
Alouette, je te plumerai.
Je te plumerai les yeux,
Je te plumerai les yeux,
Et les yeux, et le bec, et la tête.
Alouette, gentille alouette,
Alouette, je te plumerai.
Je te plumerai le cou,
Je te plumerai le cou,
Et le cou, et les yeux,
et le bec, et la tête.
Alouette, gentille alouette,
Alouette, je te plumerai.
Je te plumerai la queue,
Je te plumerai la queue,
Et la queue, et le cou,
Et les yeux, et le bec,
Et la tête
Alouette, gentille alouette,
Alouette, je te plumerai.
Je te plumerai les pattes,
Je te plumerai les pattes.
Et les pattes, et la queue,
Et le cou, et les yeux,
Et le bec, et la tête.
Alouette, gentille alouette,
Alouette, je te plumerai.
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"Au XVIIe et XVIIIe siècles,
cages et volières étaient un symbole de grand luxe
et faisaient partie en Europe,
du décor des riches demeures et des jardins."
....
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"L'œuvre maîtresse en ce domaine est certainement la chanson polyphonique
de Clément Janequin...
Une partie importante de son texte est carrément faite d'onomatopées. "
tout l'article: cliquez sur le dessin
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j'ai trouvé cette chanson sur le site de cette école
Une miette de pain (bis)
C'est pas bien gros
C'est pas bien gras
Pour ton estomac
Une miette de pain (bis)
C'est pas gros
Mais c'est déjà beau
Pour un p'tit oiseau.....
pour lire la suite et pour écouter,
allez sur le site
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Roodborstje tikt aan het raam
Roodborstje tikt aan het raam, tin tin tin
Laat mij erin
Laat mij erin
‘t Is hier zo koud en te guur naar mijn zin
Laat mij erin
Laat mij erin
‘t Meisje deed open en had in haar schoot
Korreltjes haver en kruimeltjes brood
Dat was het roodborstje recht naar de zin
Ging toen het bos niet meer in
of:
‘t Meisje deed open, het beestje kwam snel
Binnen was ‘t beter, de guit wist dat wel
Maar toen de lente weer kwam, tin tin tin
Vloog hij het bos weder in(la chanson...sous le premier rouge-gorge)
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