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Par macedoine le 13 Septembre 2020 à 18:34
La sorcière la sorcière
est une drôle de mégère
qui habite qui habite
dans une grande marmite
Elle a les doigts tout crochus,
Elle a le nez tout pointu,
Elle a les yeux de travers
Et la culotte à l’envers
La sorcière la sorcière
est une drôle de mégère
qui rigole qui rigole
tout le temps comme une folle
A cheval sur son balai
Quand elle sort de la forêt
Et qu’elle veut nous attraper
On va vite se cacher !
La sorcière la sorcière
est une drôle de mégère
qui est bête qui est bête
comme une vieille chaussette
Demandez-lui combien font
deux moutons plus deux moutons
elle compte sur ses doigts
et répond que ça fait trois
La sorcière la sorcière
est une drôle de mégère
qui prépare qui prépare
une soupe aux gros lézards
Elle y met un peu de sel
Du poivre et de la cannelle
Un jour en la préparant
Plouf elle est tombée dedans
La sorcière la sorcière
est une drôle de mégère
qui habite qui habite
dans une grande marmite
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Par macedoine le 21 Octobre 2012 à 13:00
Modest Petrovich Moussorgski (1839-1881)
Une nuit sur le Mont Chauve(orchestration de Rimski-Korsakov)
http://musique.ecolevs.ch/6p4.htm
La ronde des sorcières
Mais quel est ce bruit dément
Sur la colline aux sorcières
……..
.............
C’est la ronde des diablesses,
Qui s’envolent au Sabbat,
Emportant dans leur cabas,
Leurs potions enchanteresses !
Yann Walcker
« Le manoir des horreurs »
extrait
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Par macedoine le 21 Octobre 2012 à 06:12
Camille Saint Saëns composa cette oeuvre pendant des vacances en Autriche. Il voulait faire rire.
Comme il avait la réputation d'être quelqu'un de sérieux, il semble que son oeuvre ne fut pas bien accueillie.
Il interdit lui-même qu'on joue « Le Carnaval des animaux » de son vivant.
Il y a plusieurs mouvements.
« Les fossiles » arrivent à la fin de l'oeuvre, avant « le cygne » et la « Finale ».
Les fossiles font penser aux animaux disparus et aux vieux airs de l'époque.
Vous reconnaîtrez « J'ai du bon tabac » , « Ah vous dirais-je maman » et « Au clair de la lune »
Peut-être entendrez-vous le thème du Barbier de Séville (de Rossini) et celui de la Danse Macabre
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Par macedoine le 20 Octobre 2012 à 18:27
Camille Saint Saens
Saint-Saëns Camille
[Charles Camille]
1835-1921Né à Paris le 9 octobre 1835, mort à Alger le 16 décembre 1921.
Son grand-père paternel est agriculteur en Normandie. Jacques-Joseph-Victor Saint-Saëns (1798–1835) sous-chef de bureau au ministère de l'interieur meurt de tuberculose trois mois après la naissance de son fils Camille qui est élevé par sa mère, Clémence Collin (1809–1888) et sa grand-tante, Charlotte Masson, qui lui enseigne le piano. Il est enfant prodige au piano et en composition.
Camille Saint-Saëns 1839 [{BnF]la suite ICI
Grâce au blog de Thierry , j'ai découvert cet article et cette vidéo:
"Heureusement j'ai trouvé quelques vidéos, pour celles et ceux qui n'ont pas l'oreille exercée à toutes les subtilités de cette "musique savante".Il s'agit de chronogrammes (c'est-à-dire des graphiques synchronisés)...
Chaque couleur représente une partition (un instrument, un groupe d'instruments, ...).
Et la hauteur de chaque courbe représente la hauteur de la note."
La Danse macabre : un article sur Wikipedia
La Danse macabre, opus 40, est un poème symphonique composé en 1874 par Camille Saint-Saëns d'après le poème d'Henri Cazalis Égalité-Fraternité, tiré des Heures Sombres, quatrième partie de son recueil L'Illusion paru en 1875. Jouée pour la première fois à Paris le 24 janvier 1875, sous la direction d'Édouard Colonne, cette œuvre a été dénigrée par le public. C'est aujourd'hui un morceau célèbre.
Zig et zig et zag, la mort en cadence
Frappant une tombe avec son talon,
La mort à minuit joue un air de danse,
Zig et zig et zag, sur son violon.
Le vent d'hiver souffle, et la nuit est sombre,
Des gémissements sortent des tilleuls ;
Les squelettes blancs vont à travers l'ombre
Courant et sautant sous leurs grands linceuls,
Zig et zig et zag, chacun se trémousse,
On entend claquer les os des danseurs,
Un couple lascif s'assoit sur la mousse
Comme pour goûter d'anciennes douceurs.
Zig et zig et zag, la mort continue
De racler sans fin son aigre instrument.
Un voile est tombé ! La danseuse est nue !
Son danseur la serre amoureusement.
La dame est, dit-on, marquise ou baronne.
Et le vert galant un pauvre charron – Horreur !
Et voilà qu'elle s'abandonne
Comme si le rustre était un baron !
Zig et zig et zig, quelle sarabande!
Quels cercles de morts se donnant la main !
Zig et zig et zag, on voit dans la bande
Le roi gambader auprès du vilain!
Mais psit ! tout à coup on quitte la ronde,
On se pousse, on fuit, le coq a chanté
Oh ! La belle nuit pour le pauvre monde !
Et vive la mort et l'égalité !Poème de Cazalis
Tout comme dans son Carnaval des animaux, tous les instruments utilisés viennent jouer un rôle, ce sont de véritables acteurs.
Ainsi, le xylophone représente les squelettes qui dansent durant la nuit. En effet, c'est le bruit de leurs os qui claquent que le compositeur a ici figuré.
Les violons marquent la cadence sur des quintes criardes et rappellent le vent d'hiver et la quinte diminuée du début (la-mi bémol) veut suggérer la sécheresse et l'aigreur de la saison.
La harpe sonne les douze coups de minuit et le violon solo symbolise la mort qui frappe sur les tombes pour réveiller les défunts.
Trois thèmes sont développés : l'un rythmique, exposé par la flûte ; le second mélodique, énoncé par le violon solo ; enfin, la citation du Dies irae, issu du chant grégorien des monastères,
mais il s'agit ici d'un Dies irae sautillant qui sonne bizarrement à la trompette, appuyée par les cymbales ;
les esprits infernaux semblent ridiculiser cette phrase solennelle de la liturgie des morts. Ces trois motifs sont valsés.
Le thème A se développe sous la forme de variations, que le thème B est traité en fugue et qu'à un certain moment, les deux se superposent.
On soulignera aussi le déchaînement de l'orchestre, à grand renfort de clameurs dues aux cuivres, exprimant la joie frénétique, forcenée, de ce monde souterrain. Et, quand le hautbois fait entendre le cocorico, les morts se dispersent.
source: Wikipedia
et pour changer...
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Par macedoine le 20 Octobre 2010 à 00:07
Si j'étais une petite souris
je ferais peur aux sorcières
Je lui f'rais des kilis kilis
et la f'rais tomber par terre
Mais je suis la petite Lily
bien plus forte que toutes les sorcières
j'leur envoie plein d'pili pili
et elles tombent sur leur derrière
Brigitte...avec la petit Lily
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Par macedoine le 20 Octobre 2010 à 00:00
Je n'ai pas encore commencé à transférer tout sur Ekla
mais vous trouverez votre bonheur
sur le blog:
http://animusiques-monstresetcie.skynetblogs.be/
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